Loi immuable universelle, Pour toute vie il y a une mort, pour toute ascension il y a une chute, pour tout homme il y a une femme. J'suis pas sûr que le dernier point soit dans la loi m'enfin bon...
09 décembre 2008
Français.
Loi immuable universelle, Pour toute vie il y a une mort, pour toute ascension il y a une chute, pour tout homme il y a une femme. J'suis pas sûr que le dernier point soit dans la loi m'enfin bon...
05 décembre 2008
J'espère et je pleure.
L'espérance de l'accomplissement de mes rêves les plus chers à mes yeux me permet d'aller de l'avant, avancer peu à peu et faire parti des brides natives de ce flux chimérique et tenter d'en concrétiser les prémices. Naïveté ou mirage, je continue de penser qu'il y a du bon dans le cœur des hommes et qu'un jour l'Humanité sera une seule et même force. Pour cela il est dans l'absolue nécessaire qu'il y ait une oppression extérieure tellement forte que la survie et le besoin génétique de propagation de l'espèce prend le dessus. La paix des hommes n'est pas une solution au final, la débauche, la facilité, le faux besoin, et au final un gouvernement qui lobotomise le citoyen pour s'assurer un contrôle quasi total sur les faits et gestes de ce dernier, un mouton qu'on mène à l'abattoir, qui se demande quelle herbe il préfère alors qu'on lui tranche la carotide. A quoi bon ? Pourquoi faire ? Quels sont les buts ? La finalité de toutes vies c'est la mort, tôt ou tard, dans la mort qu'on soit riche ou pauvre, blanc ou noir, quelle est la différence ? Pourquoi vouloir contrôler des êtres dont la conscience se limite à ce qu'il va manger le soir, je ne comprends pas...
J'attends un gouvernement juste et droit, impartial et bon. Un gouvernement construit par la sueur et par les larmes de ses citoyens, une autorité légitime et applaudie de tous et non à moitié réfuté, avec des promesses tellement énormes qu'elles auraient du mal à tenir dans un Béluga. Il y a hélas très peu de probabilités qu'une chose telle puisse arriver et je regrette.
22 septembre 2008
Travail.
Avant ce début de scolarité, il y a l'emploi étudiant, pour certain c'est un passage obligatoire pour pouvoir accéder aux inscriptions, pour les autres c'est facultatif, juste de l'argent de poche pour pouvoir se pochtronner la gueule, c'est beau la jeunesse.
Pour moi ce travail consiste à surpasser mes barrières émotionnelles afin d'aller au contact des gens, chose facile pour certain, pour d'autre non, je suis entre les deux, ça dépend des personnes que je rencontre que je cible, c'est un travail très intéressant sur ce point, autant que sur l'aide apporté aux personnes. Fastidieux dans un sens avec l'idée d'une bonne rémunération derrière, il me confère le bien être de ne pas perdre mon temps et de ne pas faire quelque chose de futile.
Toutefois toutes médailles a son revers, souvent dans une entreprise, il y a des maillons faibles, à éliminer car ils enrayent le bon fonctionnement de la chaîne, c'est à cause de ce genre de personnes que la motivation et le respect du travail se perd. A cause d'une personne, le travail de trente ou quarante se trouve ralenti et retardé. Je déteste ça.
Enfin, avec des réflexions continues on se dit qu'on est pas si mal loti.
Les boulots étudiants aident à survivre à la semi-précarité que le gouvernement et la société capitaliste nous impose. 50% des échecs universitaire sont dus à ça.
Ah lala, l'herbe est bien plus verte dans le champ du voisin.
27 août 2008
Ecriture.
Je n'ai pas vraiment besoin d'écrire, c'est plus une envie de parler, des questions que je me pose, des questions s'adressant à des gens, n'osant les poser car jamais moment approprié ne s'en vient. Suis-je important à leur yeux ? Comment me considèrent-ils ? Suis-je une personne sans valeur, sans saveur ? Est-ce que j'ai une personnalité propre à ma personne ? Est-ce que je suis réellement moi ? Je me cherche encore trop, mon indécision me pourri la vie. J'en ai marre.
Ces questions presque existentielles, me prouvent intérieurement mon instabilité mentale et psychique, mes névroses, car ce ne sont pas des questions courantes, elles me concernent et me demandent la véracité de mon existence. Mettent en doute la lumière, particule ou onde, le spectre visible, la réceptivité des sons, l'alchimie des odeurs... J'éprouve de plus en plus le besoin de voir l'invisible et de me crever les yeux, je souhaite la renaissance de l'humanité avec une façon de penser différente, une vision différente, un "être" naturel, non corrompu, innocent et droit. Je rêve. Ma frustration est très grande car je suis un grand insatisfait, un perfectionniste, un extrémiste de la destinée qui perd toute contenance lorsque ce qu'il a planifié ne se déroule pas selon ses plans, c'est en ce moment ce qu'il se passe.
Paradoxe que de dire pas vraiment besoin, alors qu'au fond de moi, j'en éprouve la nécessité, j'aime écrire, mais je n'y accorde pas suffisamment de temps, c'est dommage.
Les mots utopie, rêve, fiction reviennent régulièrement sous mes doigts, mon imagination me joue des tours, les rêves sont ils réalité, et réalité rêve. Pourquoi le sur-réalisme est dans mes rêves ? Pourquoi ai-je la sensation de pouvoir me réveiller à tout moment ?
Ceci dit, je suis d'un naturel pessimiste très terre-à-terre introverti qui se soigne. Je dois consulter.
20 avril 2008
Check up
Une semaine égale un jour. Plus le temps passe plus il va vite.
31 mars 2008
Vous les femmes...
Vision étriquée car personnelle, j'expose ce que je vis et ce que je vois autour de moi. S'embarquer dans une description aussi difficile que celle des femmes, femmes au sens large et particulier, car chacune d'entre elle est différente et pourtant si similaire.
Je n'apporte pas de préjugés ou de prototype parfait de la femme, je les vois et les décris telles qu'elles sont, ou parfois telles qu'elles veulent bien se laisser voir. A contrario, je dépeins l'homme comme une caricature, j'exclus les personnes qui respecte la femme à part entière.
J'ai eu dans ma vie maintes relations, ponctuelles, à distance, longues, d'un soir, mais chacune fut une expérience à part entière.
Je vois la femme et c'est pour moi une énigme - et je ne pense pas être le seul à penser cela - que je m'efforce d'élucider, mais il y a peu de réponses comparé aux questions que l'on se pose. Ceci amène cela, une compréhension amène une façon de voir qui elle-même apporte des questions, et au final on y comprend plus rien. Réfléchir et penser. D'un point de vue extérieur, en temps qu'observateur du monde, je dirais que l'homme malgré son apparence dominatrice n'est qu'un larbin face a une belle femme, belle au sens de sa vision des choses, il n'est que le pâle reflet de ce qu'il était avant de la rencontrer, amélioration de son aspect, entretien de soi, assiduité au rendez-vous (!) et cætera... Tous et heureusement ou malheureusement ne sont pas comme ça. Au fond de lui-même l'homme craint la femme car sans elle il n'est rien, je parle en temps qu'homme qui sait apprécier les femmes, j'ai notifié ceci, un homme face a l'idéal féminin n'osera pas lui adresser la parole, il ne fera que la regarder du coin de l'œil, peut-être esquisser un sourire. L'homme trop sûr de lui ira la voir sans aucune hésitation et fera comme avec les autres, seulement lorsqu'on prend de haut, la chute est douloureuse. Bref, ce n'est pas le sujet...
Enigme disais-je, quant à sa compréhension, sa façon d'être, sa manière d'amener les choses, son point de vue ; la femme possède des atouts (pas seulement physique, j'en vois qui sourient), leur force de caractère qui se développe au fur et a mesure qu'elles accumulent les expériences ou qu'elles possèdent depuis leurs enfances en est un particulier et c'est ce qui fait le plus peur à l'homme, force de persuasion, de séduction, tomber dans les mains d’une telle femme est si facile car nous autres hommes sommes faibles. Comprendre une femme au sens général, c'est comme pour une femme qui tente de comprendre un homme (quoique parfois ce n'est pas dur pour certain), je n'ai pas la prétention de dire comment les comprendre ou savoir comment une femme fonctionne mais comme tout homme ayant eu des relations diverses et variées, je peux dire que j'en vois un bout de mécanisme. Je sais que si une femme est réellement amoureuse, elle ne verra pas les autres hommes, ils seront insignifiants. Je sais aussi que autant que pour nous, la femme est sensible aux attentions, quelles qu’elles soient du moment que ça va dans son sens. Chacune a sa façon d’être séduite, chacune a sa façon d’attirer l’attention, de séduire. Un sourire, un regard, une parole.
Femme de fer ou femme soumise, sans elles nous n’aurions pas vu le jour, elles enfantent et nous donne la vie, parfois c’est une chose qu'elles appréhendent, Une femme qui par choix refuse d’avoir un enfant, renie au plus profond d’elle cet instinct génétique qui au travers les âges a montré sa puissance et sa présence. Séductrice, femme fatale, timide, sensible, extravertie, mère, les femmes sont notre moitié et bien que la société ne fasse étalage que de beauté et qu’apparence, en nous bassinant avec des mannequins représentant le soi disant idéal, mais nous montrant que le rôle d’une femme n'est réduit qu'à l'état de simple objet, où l’essor d’une certaine pornographie nous montrant l’image dégradante de la femme chair à baiser.
L’intérieur est une chose indispensable pour avoir un couple stable et fixe. Trop de couples se retrouvent déchirés parce que la communication est inexistante ou qu’il y a introversion de la parole de peur de blesser l’autre, il faut savoir qu’une personne aimante pardonne sans problème les petites choses et si cet amour est là, il n’y a pas d’inquiétude à avoir. Toutefois, un couple qui ne se séduit pas régulièrement gagne en lassitude au fur et à mesure que les années passent, comme une accoutumance de l’un à l’autre, il faut savoir mettre du piquant au bon moment. Encore une divagation, c’est certain, je parle de femme et j’en viens au couple car c’est l’unicité de deux êtres, le yin et le yang, la complémentarité.
Pourquoi une telle chose, c’est seulement car c’est ainsi que nous fait, selon les lois de la nature, l’homme est un animal, évolué certes, mais il mesure son propre degrés d’évolution avec sa propre intelligence et sa façon de penser, là n’est pas la sagesse.
Pour en revenir à nos dames, il est dit qu’à une certaine époque, au Japon, les femmes ont gouverné. Elles furent tellement impitoyables et froide, que les hommes s’insurgèrent contre elles et renversèrent ce pouvoir. C’est depuis lors que la femme au japon est rabaissée sans cesse, de peur qu’elles ne reviennent. Cet esprit se retrouve aussi chez les catholiques, du moins au départ, après elles furent elles aussi canonisées mais elles représentaient le mal, le désir, le péché, la tentation d’Adam. Les femmes sont là, elles possèdent une force qu’elles ignorent elle-même, cette force leur vaut mon admiration, même si c’est peu c’est fait. Pour toutes les filles et femmes qui liront ses lignes sachez que vous m’émerveillez, me troublez, me faites pleurer, mais je vous aime, et je vous respecte dans réciprocité.
Tiens je pense que j’ai viré féministe moi, j’vais aller consulter.
29 février 2008
Absence et retour.
Vivre avec des regrets n'amène rien de bon, du coup je vais de l'avant sans me retourner, de peur que mon passé me rattrape trop tôt et que je ne puis arriver à mes fins dans les temps. J'ai désormais un objectif qui, j'espère, ne me fera pas dévier de ma route, comme j'ai l'habitude de faire.
Sous le pont Mirabeau coule la Seine comme on dit, on ne regarde jamais deux fois le même point sur un fleuve qui s'écoule. Adieu.