Voilà une année scolaire qui recommence, avec ces aléas, ces bons côtés, ces connaissances, ces difficultés. J'aime les années fac, pas la série des années 80 90 mais les années d'études supérieures, où le mélange est plus présent que le lycée, où tous les âges sont mélangés, la connaissance est là et on la cherche, on veut aller au bout pour atteindre un but un diplôme un métier.
Avant ce début de scolarité, il y a l'emploi étudiant, pour certain c'est un passage obligatoire pour pouvoir accéder aux inscriptions, pour les autres c'est facultatif, juste de l'argent de poche pour pouvoir se pochtronner la gueule, c'est beau la jeunesse.
Pour moi ce travail consiste à surpasser mes barrières émotionnelles afin d'aller au contact des gens, chose facile pour certain, pour d'autre non, je suis entre les deux, ça dépend des personnes que je rencontre que je cible, c'est un travail très intéressant sur ce point, autant que sur l'aide apporté aux personnes. Fastidieux dans un sens avec l'idée d'une bonne rémunération derrière, il me confère le bien être de ne pas perdre mon temps et de ne pas faire quelque chose de futile.
Toutefois toutes médailles a son revers, souvent dans une entreprise, il y a des maillons faibles, à éliminer car ils enrayent le bon fonctionnement de la chaîne, c'est à cause de ce genre de personnes que la motivation et le respect du travail se perd. A cause d'une personne, le travail de trente ou quarante se trouve ralenti et retardé. Je déteste ça.
Enfin, avec des réflexions continues on se dit qu'on est pas si mal loti.
Les boulots étudiants aident à survivre à la semi-précarité que le gouvernement et la société capitaliste nous impose. 50% des échecs universitaire sont dus à ça.
Ah lala, l'herbe est bien plus verte dans le champ du voisin.
Avant ce début de scolarité, il y a l'emploi étudiant, pour certain c'est un passage obligatoire pour pouvoir accéder aux inscriptions, pour les autres c'est facultatif, juste de l'argent de poche pour pouvoir se pochtronner la gueule, c'est beau la jeunesse.
Pour moi ce travail consiste à surpasser mes barrières émotionnelles afin d'aller au contact des gens, chose facile pour certain, pour d'autre non, je suis entre les deux, ça dépend des personnes que je rencontre que je cible, c'est un travail très intéressant sur ce point, autant que sur l'aide apporté aux personnes. Fastidieux dans un sens avec l'idée d'une bonne rémunération derrière, il me confère le bien être de ne pas perdre mon temps et de ne pas faire quelque chose de futile.
Toutefois toutes médailles a son revers, souvent dans une entreprise, il y a des maillons faibles, à éliminer car ils enrayent le bon fonctionnement de la chaîne, c'est à cause de ce genre de personnes que la motivation et le respect du travail se perd. A cause d'une personne, le travail de trente ou quarante se trouve ralenti et retardé. Je déteste ça.
Enfin, avec des réflexions continues on se dit qu'on est pas si mal loti.
Les boulots étudiants aident à survivre à la semi-précarité que le gouvernement et la société capitaliste nous impose. 50% des échecs universitaire sont dus à ça.
Ah lala, l'herbe est bien plus verte dans le champ du voisin.
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