Mais qu'est-ce qu'il se passe dans ce monde, la folie surpasse la raison, l'illogisme prend le pied sur la logique, les antipodes se touchent, on vénère des hommes pour leurs actions mais on ne prend pas conscience de l'impact néfaste qu'elles engendrent sur l'avenir. On opprime contre l'oppression, on tue au nom de la paix. Nous sommes des Don Quichotte, naïfs, lobotomisés, désinformés, bataillant contre des moulins à vent que les gouvernements nous désignent. Et nous y fonçons tête baissée, comme un taureau de corrida fonçant sur le drap rouge du matador, où les taxes, les lois contre la liberté sont les banderilles qui nous fatiguent jour après jour jusqu'à notre mise à mort. Tableau noir de la société capitaliste qui à côté nous donne des enjolivements, les vacances, les RTT, les 35h, du pognon pour les plus instruits... En fait..., rien n'est beau dans tout ça... Et pourtant la nature si belle, si complète, si évolutive, même-elle se pose des questions, n'a-t-elle pas fait une erreur en donnant naissance à l'homme ? C'était un choix difficile car cet humain est capable de faire de grandes choses, mais pourtant aussi est capable du pire. Mais ce choix a été déposé en lui-même avec la conviction de Dame Nature qu'il irait vers l'évolution, la conservation, la transcendance de son espèce.
Mais le choix a été tout autre, le feu lui a fait voir les possibilités de suprématie sur le monde, sur les vivants, lui a grillé les neurones. Pour certain du moins, mais les plus empathiques se retrouvent tous sous le fouet du pouvoir, ce prédateur, qui pourtant est son parent n'éprouve aucune pitié. Le pouvoir et la recherche du pouvoir conduit à l'autodestruction, pensant que sa richesse, son pouvoir, lui permettra de vivre. Face à la faim, au vide, au manque, que vaut la richesse ? Fasse à la maladie incurable, à la mort, que vaut la richesse ? Car la terre se meurt et lorsque toutes les ressources et réserves seront épuisées ou polluées, qu'adviendra-t-il ? L'humanité aura épuisé son dernier souffle, la Terre continuera de tourner autour du soleil pour quelques milliards d'années encore, peut-être qu'une nouvelle vie renaitra, différente, de nouvelles espèces, ou le même cycle. Nous ne sommes que de passage sur ce roc, n'y a-t-il pas d'autres moyens plus bénéfiques pour profiter de la vie que de rechercher le pouvoir, la richesse matérielle ? La Terre ne nous donne-t-elle pas toutes les ressources nécessaires pour pouvoir vivre décemment ? Avons-nous besoin d'épuiser tout ce qui nous entoure ? La rhétorique permet beaucoup de réponses mais aussi beaucoup de réflexion. Les gens n'aiment plus réfléchir, ils préfèrent que l'on pense pour eux, ils ont peur de la vérité et de la perte de leur confort gentiment donner par la société "C'est ma coquille, c'est à moi, pas touche" et lorsque la moindre embuche tombe, le Caliméro ressort "C'est vraiment trop injuste" comme un clown hors de sa boite. Accusant les autres à tord et à travers de son malheur. Mais jamais eux d'être trop fainéants, trop flemmards, trop stupides...
17 septembre 2015
03 septembre 2015
6 ans plus tard.
6 ans déjà. Des hauts et des bas, de l'abandon, de la découverte, de l'insécurité, du rejet, de la joie, du bien-être, de l'émerveillement, de la chaleur, du froid, de la noirceur, de la lumière, de l'amour, de la haine (un peu mais pas trop), du soleil, beaucoup de soleil. 6 ans de vie qui après maintes réflexions personnelles m'ont fait avancer, m'ont fait faire des choix que je n'aurais jamais pu ou su faire avant, un avancement sporadique de la vie drainé par le flot quotidien d'évènements contextuels et collatéraux, ces mêmes choix auront enfin eut raison de moi et de mon devenir sur cette boule rocailleuse que nous nommons Terre.
Depuis peu les pensées positives s'épanouissent en moi, je deviens la personne que j'ai voulu être toute ma vie, libre et droit, avec un cap et des objectifs. Je ne suis pas encore arrivé mais je me dois de lever les yeux vers l'avenir, mon avenir. J'ai retrouvé le sourire, authentique et non forcé, je ne suis plus dans l'attente des autres mais dans la motivation personnelle et empirique. Je me suis mis à vivre, et j'aime ça.
Depuis peu les pensées positives s'épanouissent en moi, je deviens la personne que j'ai voulu être toute ma vie, libre et droit, avec un cap et des objectifs. Je ne suis pas encore arrivé mais je me dois de lever les yeux vers l'avenir, mon avenir. J'ai retrouvé le sourire, authentique et non forcé, je ne suis plus dans l'attente des autres mais dans la motivation personnelle et empirique. Je me suis mis à vivre, et j'aime ça.
Inscription à :
Articles (Atom)